L'actus

du Pro Bono

Mutations des formes d’engagement : comment les associations peuvent s’adapter ?

Peut-on réellement parler d’une crise du bénévolat ou sommes-nous à l’aube d’une nouvelle ère de l’engagement ? De nombreux signaux sont encourageants : le bénévolat en France a retrouvé en 2024 son niveau d’avant COVID, avec une augmentation du nombre de bénévoles par rapport à 2023.  Chez Pro Bono Lab, nous entendons toutefois régulièrement les associations déplorer la difficulté à trouver des bénévoles leur permettant de mener à bien leurs projets long terme et moyen terme.   Nous avons souhaité en discuter avec Hannah Olivetti, cheffe de projets prospective de la Fonda, Frédérique Pfrunder, ancienne directrice générale du Mouvement associatif, et Claire Granger, directrice des ressources de l’accompagnement chez les Petits Frères des Pauvres.
Manon Philippe
5 juin 2025

I- L’engagement, kézako ? 

Revenons tout d’abord sur la notion d’engagement. Si l’on se permet de réinterroger ce terme, c’est bien parce qu’il est loin de faire consensus. Hannah Olivetti relève une extension du champ sémantique de l’engagement, ne se limitant absolument pas au bénévolat. Les entreprises l’ont bien compris lorsqu’elles nous vendent des produits, ou nous promettent des expériences dites « engagées ». Les acteurs publics se sont également réappropriés cette sémantique avec le service civique, le service national universel ou encore sur Parcoursup.  

 De ce concept polysémique, la sociologue Anne Muxel retient son caractère d’actions et des valeurs, s’inscrivant dans un processus biographique (accidents de la vie, rencontres, ou encore parent bénévole) et sa temporalité sociale (c’est-à-dire un contexte social, politique, démocratique, économique ou encore une actualité, une situation d’urgence).  

« L’individu s’engage en fonction des évènements, de son parcours de vie ou encore des rencontres qui influent sur les trajectoires d’engagement. Dès lors que l’un de vos parents est engagé à titre bénévole dans une association, vous avez-vous-même une plus grande probabilité de vous engager. »,  complète Hannah Olivetti, cheffe de projets prospective à la Fonda.  

 Les facettes de l’engagement sont aujourd’hui multiples :  bénévolat, don en argent ou en nature… On peut s’impliquer à travers des choix professionnels en travaillant pour une association ou encore via le mécénat de compétences. Sans oublier l’engagement dans la vie politique et publique via le vote, des pétitions ou encore les manifestations.  

 

II- Peut-on parler d’une crise de l’engagement et du bénévolat ?  

 Les bénévoles, piliers du monde associatif 

 Pour Frédérique Pfrunder, ancienne directrice générale du Mouvement associatif, l’idée de « crise du bénévolat » est galvaudée.

Les associations restent le premier lieu d'engagement en France loin devant l’implication dans les partis politiques, ou les syndicats. Si l'engagement au sein du cercle familial et proche est plus difficile à quantifier, les études s’accordent à dire que les structures associatives sont le premier réceptacle de l’engagement. Et heureusement, car le bénévolat, est une ressource essentielle et indispensable pour le monde associatif.  

Plus de 15 000 bénévoles viennent ainsi en aide chaque année à l’association Petits Frères des Pauvres. Les bénévoles sont présents sur l’ensemble du territoire métropolitain et en outre-mer. Ils et sont directement mis à contribution pour remplir la mission sociale de la structure, rompre l’isolement des personnes âgées. Un choix politique de la part de l’association qui souhaite que la relation entre personnes isolées et volontaires de la société civile soit gratuite.  

« S’il n’y a pas de bénévoles, il n’y a pas d’équipe Petits Frères des Pauvres. Les bénévoles sont présents à toutes les échelles locales, régionales et nationales.  Tout bénévole en activité depuis 6 mois peut devenir membre actif de l’association, participer à la vie associative et à la gouvernance de l’association », énonce Claire Granger. 

Le cas de l’association Petits Frères des Pauvres est loin d’être isolé. A l’échelle nationale, ce sont même 90% des associations qui sont gérées et animées uniquement par des bénévoles, on comprend donc que ce sujet soit source d’inquiétude. 

Une recomposition du bénévolat 

Une inquiétude justifiée ? Les dernières études ont bien montré que 24% des Français et Françaises s’engagent en associations, un niveau pratiquement identique à celui des dernières années (entre la période 2010 -2018, ce taux avait atteint au maximum 25%). Autrement dit, difficile de parler de crise ou d’effondrement du bénévolat au regard des 15 dernières années, si l’on exclut la période de la crise sanitaire qui a eu un certain effet de désengagement. 

« Les associations veulent toujours faire plus, par conséquent elles n’arrivent jamais à atteindre leur objectif final et n’ont jamais assez de bénévoles. Plutôt que de parler de crise du bénévolat il serait plus juste d’utiliser le terme de recomposition », nuance Frédérique Pfrunder. 

Cette recomposition s’effectue à deux niveaux avec le repli continu des 65 ans et +, et les jeunes devenant moteurs de l’engagement. L’enquête IFOP sur les Français et le bénévolat montre une très nette diminution du bénévolat associatif des 65 ans et plus entre 2010 et 2023 (de 38 à 25% sur cette période) mais aussi une progression de l’engagement des 15 - 34 ans pendant la même période (de 16% en 2010 à 25% en 2023).  

Au-delà de ces chiffres, c’est la fréquence de l'engagement en association qui pose question. Les chiffres montrent une diminution des engagements réguliers (chaque semaine). Or les bénévoles qui s'engagent sur la continuité sont les plus susceptibles d’exercer des responsabilités dans les associations, de prendre en charge la gouvernance de celles-ci.   

Une tendance que confirme Claire Granger, directrice des ressources de l’accompagnement chez les Petits Frères des Pauvres.  En 10 ans l’association a doublé son nombre total de bénévoles. Cependant, la colonne vertébrale des associations, les bénévoles engagés toutes les semaines, s’est fragilisée. Certains bénévoles ne sont jamais revenus après la crise sanitaire dans les instances associatives, les conseils d'administration, ou encore les conseils d'équipe, notamment la tranche d’âge des 65 ans et plus. Un phénomène qui pourrait bien être sociétal, cette tranche d’âge occupant parfois simultanément le rôle d’aidant pour les parents et de soutien pour les enfants. L’association constate également un plus grand engagement de la part des jeunes, à travers le volontariat, le service civique ou le bénévolat. Ces derniers souhaitent aujourd’hui s’engager dans une vie sociale avant de s’engager dans une vie familiale, ce qui contribue à cette recomposition du bénévolat.   

 III- Comprendre les nouvelles attentes et satisfactions des bénévoles 

Désengagement des jeunes et des seniors : en finir avec les idées reçues 

Les jeunes font encore l’objet de nombreuses critiques, souvent accusés de réaliser un engagement ponctuel et volatile. Etant donné l’évolution de l’engagement de cette tranche d’âge, connaître leurs attentes, et faire fi des idées reçues est pourtant essentiel. Dans son exercice de prospective sur la société de l’engagement, la Fonda a constaté que ces derniers étaient dans une logique d’expérimentation avec des engagement pluriels simultanés et à différentes échelles. Les jeunes souhaitent à la fois agir sur le réchauffement climatique, mais sont aussi très engagés à des échelles de grande proximité. Le sociologue Laurent Lardeux parle d’aspiration à la décentralisation militante dans les mouvements climat. Sur des sujets tels que la gouvernance qui n’attire plus vraiment les jeunes générations, il y a urgence à s’adapter pour proposer des collectifs expérimentant des formes de gouvernance plus horizontales. 

 Par ailleurs, les seniors, loin d’avoir déserté le monde association restent eux aussi très actifs. La sociologue Mélissa-Asli Petit parle d’hédonisme utile lorsqu’elle se réfère à leur engagement, c’est-à-dire que ces derniers cherchent à se sentir utiles sans se sacrifier pour autant. D’après l’étude de l’économiste Lionel Prouteau, en 2017, les 55 ans et plus donnaient 130 heures de leur temps en moyenne, contre 81 heures pour les 18 à 54 ans. 63 % des présidents associatifs ont 55 ans et plus. Enfin, parmi les élus locaux, la part des conseillers d’âge intermédiaire (entre 40 et 60 ans) est plus élevée parmi les élus que dans la population : 59 % dans les conseils régionaux, 56 % des conseils départementaux (contre un tiers dans la population de plus de 15 ans). De quoi relativiser les signaux d’alerte sur l’engagement de cette tranche d’âge. 

« Comment accompagner la montée en puissance des jeunes générations, créer une culture commune et assurer un dialogue intergénérationnel ? Voilà de grands défis auxquels les associations sont et seront confrontées dans un contexte de boom démographique et de désinstitutionalisation de la prise en charge de la dépendance par les pouvoirs publics. », alerte Hannah Olivetti.  

 Le sentiment d’utilité et la convivialité, facteurs de succès de la gestion bénévole  

Pour comprendre plus en profondeur les nouvelles aspirations de ses bénévoles et améliorer leur expérience, l’association Petits Frères des Pauvres a lancé avec Recherches & Solidarités son baromètre interne de l’engagement bénévole depuis 5 ans. 

Parmi les satisfactions les plus importantes chez les bénévoles de la structure on retrouve en premier lieu la cause, le plaisir d’être en contact avec les personnes âgées. La question du sentiment d’utilité arrive en deuxième position. La convivialité et la vie en équipe viennent compléter ce podium. En termes de déception les volontaires déplorent le manque de bénévoles, ils ont toujours cette volonté d’être plus nombreux (32% contre 50% lors du dernier baromètre), le sentiment que l’action menée a ses limites (questionnement de l’impact et de l’effet « colibri »), et la relation avec les autres bénévoles (17%).  

Ces résultats invitent selon Claire Granger à travailler sur la question de la vie associative locale. Ils corroborent par ailleurs, les travaux de la sociologue Anne Muxel qui montre que les individus ont aujourd’hui tendance à préférer les actions concrètes, de terrain, avec des effets rapides de leur engagement et un fort besoin de sentiment d’utilité. 
 
Les Petits Frères des Pauvres avaient à cœur de creuser la question de la vie d’équipe lors de ce baromètre. 90% des bénévoles soulignent que l’ambiance est très conviviale au sein de leur équipe avec des temps d’échange collectifs très riches. En revanche seuls 69% des bénévoles estiment que la répartition des tâches est correctement effectuée au sein de l’équipe. 

Enfin, chiffre qui peut paraître étonnant au vu de la crise de gouvernance que connaissent les associations, 7% des bénévoles de la structure souhaiteraient exercer moins de responsabilités, contre 19% qui déclarent en vouloir plus. Charge à l’association d’identifier ces personnes qui peuvent parfois se montrer trop discrètes. 

 IV- Un rapport à l’engagement en perpétuel évolution 

De l’engagement timbre à l’engagement post-it 

Dans sa démarche de prospective sur la société de l’engagement, la Fonda observe que les individus ont un rapport de plus en plus distancié aux organisations. Le sociologue Jacques Ion a théorisé le passage d’un engagement timbre à un engagement post-it. La première période émerge à la fin de la Seconde Guerre Mondiale et est caractérisée par un engagement total et collectif, lié à un parti politique ou à une organisation. L’engagement post- it surgit, quant à lui, dans les années 70 avec l’émancipation et l’affranchissement des individus de leur cadre d’appartenance. L’adhésion à une structure perd de son importance au profit de la cause, et ces derniers changent plus volontiers d’organisation s’ils ne sont pas satisfaits. La sociologue et présidente du mouvement associatif Claire Thoury observe l’émergence d’une troisième ère de l’engagement s’éloignant des grandes institutions, une ère de volonté de grands changements radicaux et immédiats au sein de la génération de Greta Thunberg.  

Aujourd’hui, les individus appartiennent souvent de manière simultanée à différentes organisations, œuvrent pour différentes causes, s’articulant à différentes échelles, allant de l’ultra-local à l’international. Il y a également un rapport de plus en plus distancié par rapport aux institutions publiques intensifié par un processus de fragmentation, de polarisation de la société. Dans ce contexte, les associations peuvent constituer un tiers de confiance dans une société délitée.  

« Au regard de ces changements, il faut savoir adapter nos organisations pour avoir des victoires rapides mais aussi à plus long terme pour une transformation plus profonde de la société, et pour maintenir cet engagement dans la durée. », remarque Hannah Olivetti.  

 Le consumérisme de l’engagement 

S’il n’y a pas lieu de déplorer le manque de bénévoles, l’engagement régulier est en baisse, et les individus sont de plus en plus multi-appartenants dans leur engagement.  

« On peut tout à fait être engagé dans pleins d’actes quotidiens de sa vie, sans être obligé d’être un militant de la cause. Ce n’est pas négatif, mais cela a aussi un effet sur le bénévolat associatif et sur la façon dont doivent s’organiser les associations », explique Frédérique Pfrunder. 

Cette tendance forte est accentuée par le développement des plateformes de mise en relation. Si le fait de pouvoir s’engager et d’agir facilement est positif, le risque est de « picorer » l’engagement associatif, d’être en posture de consommateur d’actions proposées par les associations (actions ponctuelles de ramassage de déchets, de tracts etc…). 

« Tout est ouvert aujourd'hui, mais cela veut dire que les associations doivent avoir une démarche structurée, la capacité à accueillir plein de bénévoles. Cela pose de nombreuses questions de gestion, d’organisation et peut engendrer des difficultés pour de nombreuses petites ou moyennes associations. », alerte Frédérique.  

 Autrement dit, si les outils techniques permettent de diffuser la notion d’engagement, de faciliter la mise en relation, les associations doivent encore s’en saisir, et penser leur stratégie pour éviter de devenir un simple réceptacle ou prestataire de l’engagement.   

Des associations au service de la politique RSE des entreprises ? 

Cela vient d’ailleurs questionner la relation que peuvent entretenir certaines entreprises avec les associations. Les politiques de RSE font désormais la part belle à l’engagement de leurs collaborateurs. Une mise en lien qui se joue la plupart du temps entre l'entreprise, les associations et un troisième acteur, le « prestataire » dont l’offre inclut le plus souvent une plateforme de mise en relation. 
Dès lors, peut-on réellement parler d’une relation de partenariat entre l'association et l'entreprise ? Comment ne pas tomber dans une relation asymétrique où l’entreprise est un simple client rémunérant un prestataire qui viendra mobiliser des associations en adéquation avec la politique RSE de l’entreprise ?

« Il est important que les associations conscientisent ces problématiques pour ne pas se retrouver dépendantes ou en situation de faiblesse. Il y a une certaine forme de consumérisme de l’engagement qui dépassent la question des plateformes. », met en garde Frédérique. 

 Les associations doivent être capables d’expliquer en quoi consiste leur projet et l’importance du collectif, de faire comprendre aux adhérents, que derrière leur adhésion, il y a un projet associatif auquel ils peuvent activement contribuer. C’est à l’association que revient cette démarche pédagogique d’expliquer l’importance du collectif pour coconstruire un projet associatif.  

Le risque de l’engagement administré 

Enfin, l’ingérence de l’état à travers ses politiques publiques, la création et mise en place de dispositifs portés ou encouragés par l’état tels que le service civique, le SNU, ou encore les heures de bénévolat dans le cadre du RSA viennent profondément influencer notre rapport à l’engagement… Tout cela peut constituer un environnement qui tend vers une volonté d’administration et d’instrumentalisation de l’engagement associatif. Il pourrait y avoir une tentation de l’état d’utiliser cette ressource et de la réguler, à un moment où il y a également une volonté de discréditer et de stigmatiser l’engagement militant par exemple dans le domaine de la protection de l’environnement ou encore de l’aide aux migrants avertit Frédérique Pfrunder. 

« Je pense qu’il y là aussi un point d'alerte pour la collectivité associative. Sur le fait de se dire la diversité constitue la force associative, donc des formes d'engagement, d'implication et d'action. Quel rôle doit avoir l’Etat là-dedans ? Est-ce le rôle de l'État d'orienter les citoyens vers certaines associations plutôt que vers d'autres ? Pour moi, la réponse est non. » 

V- Valorisation de l’engagement et de l’expérience bénévole : une réponse suffisante ? 

Comment répondre à ces profondes mutations de l’engagement ? Comment les associations peuvent soigner leur accueil en accord avec les nouvelles attentes des bénévoles ?  

C’est à toutes ces questions que le pôle bénévolat et engagement de l’association Petits Frères des Pauvres travaille activement depuis trois ans en collaboration avec l'ensemble des acteurs du réseau, et des commissions bénévolat en charge d’accueillir les nouveaux bénévoles.  

La structure cherche à mettre en place une logique de cercles vertueux. Puisque qu’elle constatait un vieillissement de la tranche d’âge chez ses bénévoles, elle s’est intéressée à la question de l’engagement des jeunes et de l’intergénérationnel en mettant en lumière le positif et l’impact de leur engagement au sein des équipes, en proposant des formats et horaires plus adaptés pour ces derniers. 
L’association a également remarqué que beaucoup de ses bénévoles sont aujourd’hui actifs, et a tenté de s’adapter à leurs contraintes. 

Enfin, le pôle bénévolat a travaillé sur un guide du pouvoir d'agir afin de favoriser l'engagement bénévole. 

« On parle souvent de la sensibilisation, de la recherche, et de l’intégration des nouveaux bénévoles, de la formation. A travers ce guide, on a souhaité se concentrer cette fois sur le soutien des bénévoles engagés, la vie d’équipe, la valorisation et la reconnaissance des bénévoles, ou encore le fait de dire au revoir à nos bénévoles. Il faut être capable de s'adapter, de prendre en compte la totalité de l'expérience bénévole et pas uniquement l'entrée dans le bénévolat. » déclare Claire des Petits Frères des Pauvres.  

C’est donc l’ensemble du cycle de l’expérience bénévole qui est passé au crible à travers des outils, des fiches repères, de la formation, parfois sous format ludique. 

Les associations doivent penser au-delà de leur cause, à la gestion des bénévoles et à la valorisation de leur engagement : « Je voudrais insister sur les questions de convivialité, de joie et de partage. Les associations sont de formidables espaces pour faire société, mais il faut aussi sacraliser ces moments festifs. Cela suppose de nouvelles fonctions de communauté organizing que l’on voit émerger au sein de certaines associations. » remarque Hannah Olivetti, cheffe de projets prospective à la Fonda. 

Le champ des possibles est vaste pour rendre l’expérience bénévole valorisante, et fidéliser les équipes. Mais cela reste conditionné à un appui financier, comme le rappelle Frédérique Pfrunder pour clôturer cette table ronde. Un des premiers motifs de déception des bénévoles reste d’ailleurs le manque de moyens accessibles dans les associations pour faire avancer la cause. La question de la surcharge administrative vient enfin, limiter l’attractivité de certaines fonctions bénévoles et freiner les associations dans leur projet associatif. “ Il faut souhaiter que les politiques publiques se décident à investir pour permettre aux associations de s’adapter aux transformations du bénévolat et d’y mettre les moyens humains et logistiques nécessaires.” 

Ressources pour aller plus loin :  

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